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Fatigue parentale et charge mentale : le chemin de Florence vers plus de sérénité


Fatigue parentale, charge mentale, nuits hachées… tu connais ça ?


Tu es peut-être en plein dedans. Tu dors peu, ton bébé se réveille souvent, tu gères tout… et tu ne sais plus par où commencer.

Dans cet épisode, je reçois Florence, une maman qui est passée par là. Elle partage son vécu, ses tâtonnements, son découragement… mais aussi les déclics qui ont tout changé. Ce qu’elle raconte dépasse largement le sujet du sommeil. C’est une transformation complète, intérieure, maternelle.



Fatigue parentale, pression et charge mentale : quand tout devient trop


Florence a longtemps tenu bon. Jusqu’à ce que son corps et son cœur lui disent stop. Elle parle du moment où elle a craqué. Le moment où elle a dit :

“J’en ai marre, je veux qu’il dorme bien. Je veux qu’il soit bien.”

Parce que quand notre enfant ne va pas bien, qu’il pleure, qu’il se réveille encore et encore… on le ressent au plus profond de nous. Et quand nous-mêmes, on ne tient plus, c’est toute la famille qui vacille.

Cet épisode met en lumière le poids invisible que portent tant de mamans. Cette impression d’être seule à tout gérer. Cette culpabilité de ne pas y arriver. Et cette force incroyable qu’on a quand, enfin, on décide de faire autrement.

La fatigue parentale et la charge mentale sont au cœur de cette prise de conscience. Et c’est souvent quand on accepte de les nommer qu’on commence vraiment à avancer.


Image d'illustration de l’épisode 7 du podcast "Au Pays des Mères’Veilleuses" : témoignage de Florence sur la fatigue parentale et le sommeil de son bébé.


Fatigue parentale, hypersensibilité et sommeil de bébé


Florence raconte le chemin qu’elle a emprunté pour sortir du brouillard. Comment elle a arrêté de chercher la méthode parfaite, de se comparer aux autres, et qu’elle a commencé à s’écouter.

Elle parle aussi de son bébé. De son hypersensibilité, de sa demande de contact permanent, des siestes en portage, de la difficulté à le poser. Et de ce moment où elle a compris qu’elle devait poser un cadre plus rassurant.

Un cadre fait de douceur, mais aussi de repères clairs. Un cadre qui l’aide elle, à se sentir soutenue. Et qui aide son bébé, à trouver plus de sécurité.

C’est ce cheminement que je soutiens dans chacun de mes accompagnements : retrouver du sens, sortir du “il faut”, et construire un équilibre qui respecte les besoins de chacun.



Charge mentale, tensions de couple et besoin de relais


Cet épisode est précieux, car il montre à quel point le sommeil n’est qu’un des symptômes. Et que derrière les pleurs et les réveils, il y a des émotions, des besoins, des histoires de famille, des vécus maternels entiers.

Florence y évoque aussi les tensions de couple, le besoin de relais, le rôle de la communication. Elle partage avec authenticité ses doutes, mais aussi sa fierté de voir les choses évoluer.

“S’il ne va pas bien, je ne vais pas bien. Et si moi je ne vais pas bien, personne ne va bien.”

Un témoignage qui fera écho chez toutes celles qui, un jour, se sont dit : “Là, je n’en peux plus.”



Tu peux aussi écouter l'épisode de podcast


Ce contenu est issu de l’épisode 7 du podcast Au Pays des Mères’Veilleuses.

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